La Chance des Irlandais, est le premier volume d’une série qui s’intitule Les Chroniques du Canal Lachine. Ce roman suit les tribulations d’Eamon Jovanovski, un artiste en herbe de descendance irlandaise, qui se lie d’amitié à l’âge de seize ans avec un certain Tom Murphy, un autre Irlando-Montréalais. À partir de ce moment, la vie d’Eamon va être mise sans dessus dessous dû à son amitié pour ce dernier, qui vit dans un univers de sexe, de drogue et de punk rock. La descente de Tom vers les bas fonds va avoir une sombre influence sur Eamon qui ne cesse de l’aider à se remettre sur pied. Après quelques temps, Eamon et Tom vont s’exiler, chacun de leur côté, hors de Montréal et vont partir à la recherche de leur place en société ainsi que d’un sens à leurs vies respectives. Toutefois, quelques années plus tard, les deux vont de nouveau se retrouver attirés vers leur Sud-Ouest de Montréal, entre le Canal Lachine et l’Aqueduc.

La Loi de Murphy, le deuxième épisode des Chroniques du Canal Lachine, suit Tom Murphy essayant de faire face aux évènements tragiques du précédent roman ainsi qu’à sa nouvelle renommée en tant qu’écrivain. Ce dernier tente de se débarrasser de ses tendances autodestructrices et est invité à faire un témoignage lors d’un de ses meatings chez les A.A. La trame du roman tourne autour de Tom racontant sa vie en détail : de ses débuts à Ville LaSalle, jusqu’à son amitié avec Eamon, son temps dans l’armée ainsi que sa vie sexuelle débridée; perdant, en chemin, tous ceux qui lui sont chers. La Loi de Murphy affirme que tout ce qui est susceptible de mal tourner, tournera mal. Ce roman est basé sur cette affirmation.    

Quelques semaines après la mort du père de Tom, ce dernier passe une soirée avec Oliver qui lui raconte sa vie alors que Tom prend des notes pour son prochain roman et réagis aux évènements de la vie d’Oliver. Monk et le Joli Coer est une histoire portant sur la recherche du grand amour et comment le karma reviens toujours hanter ce dernier.  Le roman relate le parcours d’Oliver de son primaire jusqu’à la quarantaine et toutes les mauvaises décisions qu’il a prises dans sa vie. Quoique difficile, Oliver n’a aucuns regrets parce que ces choix ont fait de lui l’homme qu’il est aujourd’hui.